J'ai mentionné dans un
billet antérieur (mais je ne faisais alors que répéter ce que plusieurs crient haut et fort), qu'une partie de l'avenir des T.I. se trouvent dans le "
cloud computing". Faut croire qu'un collègue à moi (et conseiller personnel à ses heures) a décidé d'arrêter d'en parler et d'y plonger tête première. Il s'agit d'André Verville, l'homme derrière les
chroniques de la parallaxe.
Sans le savoir, l'informatique dans les nuages (une autre de ces expressions qui a beaucoup moins d'impact en français) est partout autour de nous et nous l'utilisons abondamment. La géomatique n'y fait pas exception, quoique son utilisation est plus rare. Le "cloud computing" peut adresser certains problèmes très fréquents en géomatique soit:
- Avoir recours, de façon périodique, à beaucoup de "horsepower" en cpu pour générer la donnée.
- Le besoin assez important en espace disque pour la stocker.
- La présence d'une bande passante performante pour la diffuser.
Je suis tombé la semaine dernière sur le site de
Mapbox grâce à un flux sur Twitter. Ce dernier site représente un bel exemple concret de "
cloud computing" appliqué au géospatial. André quant à lui, a opté pour rendre disponible une session MAC OS en ligne (quelle surprise lorsque l'on connaît son profond attachement pour tout ce qui sort du génie de Steve Jobs). Son dernier bébé est tout récemment sortit du four mais comme André ne fait jamais rien à moitié, l'annonce officielle a été annoncée sur son
blog et vous pouvez suivre l'avancement de son aventure sur
Twitter. Pour en savoir plus, je vous invites à consulter son nouveau site Web
cloople qui est en ligne depuis quelques jours.
Alors que plusieurs préfèrent rester dans leur zone de confort (technologique j'entends bien), André fait partie d'une minorité de gens qui m'ont pas peur de foncer et d'essayer de nouvelles avenues tout en s'amusant.
André, je te souhaite la meilleure des chances avec ton nouveau projet!