23 décembre 2009

Rien à faire, je suis déjà en mode vacances...

Je voulais publier un dernier billet pour 2009 mais rien d'intéressant ne me vient à l'esprit. Je crois que l'idée de retrouver les miens dans quelques heures pour réveillonner surpasse tout le reste.

Par contre, j'ai déjà mes résolutions 2010 (pas en ordre de priorité):
  1. Bloguer une fois par semaine -> http://project52.info/
  2. Développer ma première application "Hello the World" sur Android
  3. Trouver un moyen (surtout financier), pour assister au FOSS4G 2010
  4. Dire davantage à ma blonde et mes enfants que je les aime!

Joyeuses Fêtes à toute la blogosphère and see you in 2010!

6 décembre 2009

un Mac OS anywhere, anytime...

J'ai mentionné dans un billet antérieur (mais je ne faisais alors que répéter ce que plusieurs crient haut et fort), qu'une partie de l'avenir des T.I. se trouvent dans le "cloud computing". Faut croire qu'un collègue à moi (et conseiller personnel à ses heures) a décidé d'arrêter d'en parler et d'y plonger tête première. Il s'agit d'André Verville, l'homme derrière les chroniques de la parallaxe.

Sans le savoir, l'informatique dans les nuages (une autre de ces expressions qui a beaucoup moins d'impact en français) est partout autour de nous et nous l'utilisons abondamment. La géomatique n'y fait pas exception, quoique son utilisation est plus rare. Le "cloud computing" peut adresser certains problèmes très fréquents en géomatique soit:
  • Avoir recours, de façon périodique, à beaucoup de "horsepower" en cpu pour générer la donnée.
  • Le besoin assez important en espace disque pour la stocker.
  • La présence d'une bande passante performante pour la diffuser.

Je suis tombé la semaine dernière sur le site de Mapbox grâce à un flux sur Twitter. Ce dernier site représente un bel exemple concret de "cloud computing" appliqué au géospatial. André quant à lui, a opté pour rendre disponible une session MAC OS en ligne (quelle surprise lorsque l'on connaît son profond attachement pour tout ce qui sort du génie de Steve Jobs). Son dernier bébé est tout récemment sortit du four mais comme André ne fait jamais rien à moitié, l'annonce officielle a été annoncée sur son blog et vous pouvez suivre l'avancement de son aventure sur Twitter. Pour en savoir plus, je vous invites à consulter son nouveau site Web cloople qui est en ligne depuis quelques jours.

Alors que plusieurs préfèrent rester dans leur zone de confort (technologique j'entends bien), André fait partie d'une minorité de gens qui m'ont pas peur de foncer et d'essayer de nouvelles avenues tout en s'amusant.

André, je te souhaite la meilleure des chances avec ton nouveau projet!



30 novembre 2009

Pourquoi Foursquare pourrait déloger Twitter?

Après MySpace (2007), Facebook (2008) et Twitter (2009), Foursquare pourrait bien devenir le prochain réseau social à remporter la palme d'or du public. Bref rappel sur Twitter ici (en espérant que personne n'ait besoin d'y accéder). Pour ma part, j'utilise Twitter principalement pour recueillir rapidement et sans effort, les opinions d'un ensemble de gens intéressants, sur les sujets qui m'interpellent. Twitter me pousse l'information avant même que je ne la demande (c'est ce que l'on appelle du "PUSH" marketing dans le jargon Web 2.0). Les flux d'informations sur Twitter sont nombreux et en temps réel. Il ne vous reste qu'à les intercepter au passage pour en retirer ce que bon vous semble. J'essaie en contre partie, de partager certains articles ou liens d'intérêt, que je considère pertinents, avec l'infîme portion de la blogosphère qui me suit (mes "followers"). Cet exercice est souhaitable pour ne pas devenir un "Twitter snob".
Foursquare a repris ce concept de flux d'informations alimenté par la communauté d'internautes afin de les transformer en critique de tout acabit (culinaire, culturelle, sportive, plein air ou autres). Fait intéressant ; on retrouve derrière le concept de Foursquare une composante spatiale (géolocalisation). Premièrement, Foursquare vous demande dans quelle ville vous êtes ("check-in"). Ensuite, il vous invite à partager ("broadcast") vos coups de coeur mais aussi vos déceptions (resto, café, parc, bar, salle de spectacle, etc...). Finalement, Foursquare s'occupe de pousser automatiquement cette information à ceux qui se rapprochent physiquement des endroits commentés.

Imaginez un instant, la situation suivante. Vous arrivez dans une nouvelle ville et vous marchez sur une artère commerciale. En fonction des entreprises que vous croisez, vous recevez des commentaires du genre:
  • 48 personnes ont aimé le hamburger de chez JoBurger juste en face.
  • 234 personnes ont trouvé le service médiocre au café XYZ.
  • 2564 personnes ont accordé une de 10/10 pour les pâtes de Chez Luigi.
Avouez que vous serez tenté par les pâtes n'est-ce pas?

Il sera très intéressant de voir comment Twitter devra s'adapter face à la montée de Foursquare mais il est fort à parier que la géolocalisation des tweets est une question de jours. On en parle déjà depuis un bout de temps ici et .

En terminant, je vous invite fortement à prendre connaissance de Foursquare (et même d'installer l'application sur votre iPhone ou sur votre Android) mais surtout à remplir ce formulaire afin que l'on ajoute la magnifique Ville de Québec dans leur système. Autre bonne raison, Montréal s'y trouve déjà.

12 novembre 2009

Quel est le prochain "BUZZ" du géospatial?

Voici une compilation personnelle, et très simpliste, de mes outils de travail des dix dernières années (en ordre passablement chronologique):
  • CAD, HTML, Basic, Pascal
  • SIG (GIS), AML, MDL
  • Serveur cartographique (Web Mapping)
  • ASP, Cold Fusion, Visual Basic
  • Base de données spatiales
  • Normes géospatiales, composantes "OpenSource"
  • .Net, librairies et API commerciaux
  • Services Web
  • PHP, AJAX, "Mashup" d'API gratuit
À l'aube d'une nouvelle décennie, je me force à essayer d'imaginer notre pratique de demain. Dans le cadre de cette réflexion, je crois personnellement que les éléments suivants devront faire partie de l'équation:
  • Revoir de fonds en comble le modèle pour accéder aux données géographiques (en commençant par le Québec). La qualité de tous les services de géo-localisation en dépendent (s'inspirer du gouvernement américain ou des initiatives comme OSM).
  • Utiliser de façon efficace les canaux de communication que représentent les réseaux sociaux (comme Facebook et Twitter mais aussi les petits nouveaux dont dopplr et foursquare qui seront, selon certains, les prochains grands gagnants du Web 2.0).
  • Exploiter davantage l'énorme potentiel des appareils mobiles (iPhone, Androïd) et de leur antenne GPS intégré.
  • Et comme il n'est jamais interdit de rêver, essayer d'avoir la tête un peu dans les nuages.
Et vous, clients et partenaires de demain, comment entrevoyez-vous l'avenir du géospatial avec toute cette bouillabaisse technologique ?

5 novembre 2009

Place aux logiciels libres dans les administrations publiques

Je me suis présenté hier au CLLAP (Conférences sur les Logiciels Libres et les Administrations Publiques). Ce fût une très belle occasion de jaser "OpenSource" avec des collègues et amis qui, tout comme moi, sont passionnés à l'idée de concevoir des solutions basées en tout ou en partie sur des composantes ouvertes.

L'événement a débuté avec les propos du directeur exécutif de l'OSSI (Open Source Software Institute), M. John M. Weathersby. Cet organisme encourage fortement l'intégration de technologies libres au sein des administrations publiques américaines. Pour ce faire, l'OSSI rassemble autour d'une même table, des représentants provenant des milieux académiques, publiques et privés afin d'échanger sur leurs besoins communs en T.I. M. Weathersby nous a cité quelques cas concrets au sein de l'administration Obama qui utilisent des technologies ouvertes dont le "Department of Defense" (DOD), le "Department of Homeland Security" et plus récemment, la Maison Blanche à Washington qui a adopté Drupal, un CMS "OpenSource".

Deux citations (en traduction libre) de sa plénière d'ouverture ont retenus mon attention:
...le rôle d'un gouvernement est de bien servir ses citoyens et l'utilisation des solutions libres représente est une façon intelligente d'utiliser les fonds publiques.

...ne pas essayer de déloger des forteresses technologiques bien établies (ex. Microsoft Office) mais plutôt essayer d'entrer par de plus petites portes, moins bien desservies par les logiciels propriétaires (favoriser le mode hybride, c.a.d. ouvert+propriétaire).

La géomatique quant à elle, avait une belle vitrine avec cinq présentations en rafale (sous la forme de "lighthing talks" d'une durée de cinq minutes). Leur exposé portait sur l'utilisation et l'impact des logiciels libres au sein de leur organisation respective:
Depuis cette année, le CLLAP est passé sous la gouverne de l'APELL (l'Association Professionnelle des Entreprises en Logiciels Libres). Il sera intéressant de voir le ton qu'ils donneront à l'événement pour les éditions futures.

5@7 de la VETIQ - Débat sur le Web 2.0

La VETIQ (La Voix des Entrepreneurs en T.I. de Québec) organisait un 5@7 (mardi le 3 novembre dernier) avec comme trame de fond, un débat portant sur le Web 2.0. Le débat était alimenté par quatre experts issus du monde des affaires de la région de Québec.
En arrivant sur place, disons que je me suis demandé ce que je faisais là. Je m'ennuyais un peu (beaucoup) du monde géomatique habituel dans lequel je suis si confortable (Pierre Lavoie encourage à sortir de notre zone de confort alors c'est ce que j'ai fait). Je suis tout de même resté car je voulais absolument entendre les opinions des participants sur le sujet (mais aussi parce que je venais de payer 30$ pour entrer). Une fois le débat commencé, j'étais très content d'avoir infiltrer ce petit univers assez dynamique. Voici ce que j'ai retenu de ma soirée.

Commençons en parlant de l'appellation 2.0 qui ne semble pas être un terme approprié pour définir l'état actuel du Web. La version 2.0 de la toile ne signifie pas un avancement ou un "upgrade" technologique (comme le passage de la version 9.1 à 9.2 de ArcGIS - Oups, cet exemple n'est pas applicable car on peut pas là non plus parlé d'un avancement technologique) mais plutôt d'une nouvelle façon de penser ou d'exploiter le WWW. Le Web 2.0 met à notre disposition, un plus grand espace afin de communiquer, échanger, se faire connaître, rejoindre de nouveaux clients et ce, dans la plupart des cas, de façon totalement gratuite. Le Web 2.0 est une extension du Web que nous avons connu dans le passé combiné avec une démocratisation des outils technologiques (wiki, blog, réseau sociaux) afin que des nons experts puissent contribuer et profiter de cet extraordinaire médium d'informations.

Un autre volet très important abordé hier est l'identité numérique sur le .Net. Si vous ne possédez pas déjà une adresse de courriel avec votre vrai nom, il vous sera sans doute difficile d'en dénicher une auprès des principaux fournisseurs gratuit tel que Google, Hotmail ou Yahoo. Au début du Web, les gens étaient craintifs et utilisaient des comptes tel que "momo123" ou "pierreTheKing". Maintenant, les gens et les organisations qui veulent utiliser le Web de façon sérieuse et optimale opteront pour l'utilisation de leur vrai identité. Il faut toutefois faire attention. S'afficher avec son vrai nom au lieu de parler derrière un pseudonyme ne signifie pas obligatoirement d'exposer l'ensemble de sa vie privée ou de crier haut et fort n'importe quelle absurdité. Certains le font mais ce ne sont pas eux qui contribuent à enrichir le savoir collectif qu'est le Web 2.0. L'identité numérique peut parfois être une lame à deux tranchants. Un exemple flagrant pour illustrer ce concept est le site Web de l'équipe Labeaume qui fut victime d'un vol (mais toutefois légal) d'identité numérique.

Équipe Labeaume: site officielle et l'autre

Dans mon cas, la rencontre d'hier m'incite encore davantage à être présent sur le Web mais de façon efficace afin de me créer une identité numérique positive pour l'avancement et la continuité de ma carrière professionnelle.

Merci et bravo aux gens de la VETIQ pour cette soirée.

26 octobre 2009

Les géobases communes et gratuites...

Voici notre nouveau bureau DMR dans WikiMapia:

Mon collègue DominicLemay a eu la bonne idée de numériser le nouveau bâtiment de DMR (à l'oeil car l'immeuble n'apparait pas sur l'orthophoto). Il a ensuite associé le libellé "Siège social DMR (Fujitsu)" à son polygone. Par curiosité (et pour le taquiner), j'ai modifié le libellé pour "Place de l'Escarpement" et j'ai ajouté DMR dans le champs description. Juste avant de soumettre ce message, la situation du bâtiment avait encore changé. Le polygone, dessiné originalement par Dominic, avait été édité (par je ne sais qui?), le libellé était le même mais une autre compagnie "La Promutuel" avait été ajouté dans le champs description.

J'ai ensuite fait le même exercice dans OpenStreetMap. Ma numérisation du bâtiment a nécessité seulement quelques jours avant d'être "commitée" dans la géobase. ->Voir ici.

Je trouve que ces cas reflètent assez bien la puissance (et la rapidité) de la "géocontribution" dans le but de mettre en place une géobase commune, complète et gratuite d'utilisation. Imaginez le pouvoir immense que pourrait représenter une contribution de chaque étudiant du Québec afin qu'ils prennent 5 minutes de leur temps pour numériser leur maison?

22 octobre 2009

Le MSP, un ministère branché

Le ministère de la Sécurité Publique présentait 2 projets lors du colloque. Les présentations sont en ligne et je vous invite fortement à les consulter.

Les gains de l'utilisation des technologies "Open Source" au Ministère de la sécurité publique

GOLoc - Service Web de Géolocalisation du Ministère de la Sécurité Publique du Québec

Web 2.0 - Faites vous partit de la vague?

L'édition 2009 du colloque a été ponctuée de messages concernant le Web 2.0. Avec des présentations telles que;

  • Web 2.0 et la géomatique.
  • WikiSIG.
  • Géocollaboration.
  • Sans oublier le diner conférence donné par Michelle Blanc dont le contenu était entièrement dédié sur le sujet (nous avons même abordé le Web 3.0).

Une autre preuve (un peu moins positive cette fois) est la quasi absence des kiosques de fournisseur de GPS. Non pas que leur popularité est en baisse (au contraire) mais bien parce qu'ils s'arriment moins bien avec la saveur de l'évênement. Pour ceux qui se demandent encore ce que signifie Web 2.0, voici ma conclusion après ces 2 jours de colloque:


Ce sont des sites Web dont le contenu est géré par les utilisateurs. Facebook et
Wikipédia ne seraient absolument rien sans l'apport des utilisateurs.


Je suis très heureux de la tangente du colloque géomatique et j'espère que les acteurs importants de notre industrie embarqueront dans la "wave"

BI, OLAP et nous, les intégrateurs en TI

Pour ceux comme moi qui ont étudié en géomatique, vous vous rappellerez surement des cours sur les SOLAP, les cubes de données, l'analyse compétitive. À l'époque (et encore aujourd'hui dans mon cas), ces notions étaient un peu floues. En combinaison avec les SOLAP, un autre "buzz word" à la mode ces temps-ci est le BI (business intelligence) ou intelligence d'affaire. Cette appellation est tellement à la mode que 2 nouvelles compagnies, spécialisées dans ce domaine, viennent de voir le jour à Québec. Il s'agit de Intelli3 (composé de l'équipe de recherche du professeur Yvan Bédard de l'Université Laval) et Spatialytics (formé de Luc Vaillancourt et d'un autre professeur, Thierry Badard). Les 2 firmes détiennent une forte connaissance du BI et des SOLAP et vont offrir des services conseils dans ce domaine. Une différence importante entre les 2 entreprises est que Spatialytics offrira une solution entièrement ouverte (OpenSource). Il existe présentement quelques projets en SOLAP mais jusqu'à maintenant, ce genre d'intégration est plutôt rare chez des clients. Le pari de ces 2 firmes est que cette situation change dans un avenir rapproché. Après Marie-Josée Proulx (Intelli3) qui est venue nous parler des SOLAP lors d'un diner conférence, Luc Vaillancourt m'a confié hier qu'il aimerait venir présenter Spatialytics et le BI chez DMR.

21 octobre 2009

Saint-Eustache, une ville très géomatisée

On entend souvent que les municipalités manquent de ressources $ pour offrir les services requis à leurs citoyens. Ça ne semble pas être le cas pour la ville de Saint-Eustache. Premièrement au niveau quincaillerie logicielle, elle est très bien nantie. On retrouve toute la suite ESRI, JMap mais aussi une application PG Govern. Cette ville dispose aussi d'un portail grand public qui permet de consulter les informations du rôle d'évaluation. On peut aussi afficher les infrastructures de la ville sur un fonds Google. Bref, Saint-Eustache semble un leader municipal en services géomatique.


Québec511 - DMR en vedette

La présentation du site Québec511 du MTQ a suscité beaucoup d'intérêt. La salle est comble et beaucoup de gens sont debouts derrière. Pour vous faire un rappel, ce site de WebMapping est une réalisation de DMR qui a nécessité environ 3 mois d'effort pour 2 personnes à temps plein. C'est une application OpenSource qui doit répondre à une très grande charge et ce, pour un large volume d'utilisateurs. Pour terminer, voici quelques statistiques:
->4500 utilisateurs/hre
->450 utilisateurs en même temps
->30Meg de données poussé sur le web toutes les minutes
->30000 tuiles (à la Google) regénérés aux 3 minutes.

Bravo à James pour cette suberbe présentation!

La sécurité en OpenSource, ça existe...

Les compagnies MapGears et Boréalis ont développé conjointement une composante OS pour gérer la sécurité d'accès aux données géospatiales. Cette couche intermédiaire agit comme proxy entre vos applications clientes et vos données. Cette nouvelle composante peut aussi contrôler les outils (édition) en fonction des profils d'utilisateurs. Elle est aussi conçue pour s'arrimer avec des modules de sécurité existant tel que LDAP ou JOSSO. Ma curiosité est piquée, je vais immédiatement discuter avec les développeurs du projet qui s'intitule GéoPrisma.

OpenStreetMap: le wikipédia de la cartographie

Si vous n'avez jamais entendu parler d'OpenStreetMap(OSM), vous serez surpris d'apprendre qu'il existe une géobase mondiale, gratuite et exempte (ou presque) de licence d'utilisation. Cette initiative a débuté il y a 5 ans et regroupe maintenant plus de 100k utilisateurs. Son contenu est assez surprenant (plus de "data" que Navteq, au dire de son fondateur, Steve Coast). Les données sont soumises et validées par les utilisateurs. Elles peuvent être extraites afin de les charger dans votre propre BD mais il est possible aussi d'ajouter les données de OSM dans vos applications via les normes WMS ou de tuilage. Certaines sections de la planète sont pratiquement cartographiées à 100% comme c'est le cas pour l'Allemagne entre autres. La suite un peu plus tard...

20 octobre 2009

Quelques ajouts de dernière minute.

  • Vous trouverez au bas de la page, un agenda non définitif des présentations auxquelles j'ai prévu assister.
  • Vous serez en mesure de suivre ma position grâce à Google Latitude.
  • Vous pourrez me rejoindre grâce à l'engin "chat en direct...".

Merci à Mathieu Duval pour ses idées et son temps...

19 octobre 2009

Géomatique 2009, plus qu'un jour...


Je serai à Montréal les 21 et 22 octobre dans le cadre du colloque "Géomatique 2009". Pour ceux et celles qui ne pourront être présents mais qui voudraient quand même être tenus informés du déroulement de l'évènement, je vous propose l'alternative suivante:
  • Je publierai sur le présent blog, un bref résumé des présentations auxquelles j'assisterai et ce, en essayant d'être le plus en temps réel possible.
  • Toutes les photos prises durant l'évènement seront disponibles en ligne sur le site de Picasa.
  • Finalement, pour les plus "Web 2.0" d'entre vous, je partagerai sur Twitter mes impressions personnelles (mais pas toujours pertinentes).
Je vous invite à revenir régulièrement consulter le site au cours des 2 prochains jours car le contenu sera en constante évolution. De plus, il serait vraiment intéressant que vous me soumettiez vos commentaires (directement sur ce blog). De cette façon, je pourrai facilement recueillir vos questions ou vos suggestions et ajuster mes articles en conséquence.

Bon colloque virtuel!